Association humanitaire franco-colombienne créée en 2001 à l'initiative de Stéphanie Rodriguez-Peix
Association Loi 1901 reconnue d’intérêt général.
Cinquante années de divisions politiques et de guérilla ont fait de la Colombie un pays déchiré, et marqué par des blessures profondes : instabilité qui freine le développement économique et social, insécurité et violence, chômage, corruption, trafic de drogue, problèmes de sexualité… Plus d’un million de personnes sont chassées des campagnes par la violence et la pauvreté et s’entassent près des grandes villes comme Bogota, Medellin, Cali, et Barrancabermeja, qui s’entourent de ceintures de misère. Dans ces bidonvilles, la situation sociale et sanitaire est des plus précaires, et le besoin d’aide humanitaire se fait ressentir de manière très vive.
Caminos de Esperanza est une association loi 1901, créée à l’initiative de Stéphanie Peix-Rodriguez (40 ans) en mars 2001. D’inspiration chrétienne, cette association veut apporter une aide sociale et humanitaire en Colombie, afin de manifester sa solidarité envers les plus démunis. Depuis 2001, Stéphanie travaille dans la maison d’accueil ouverte par l’association au cœur du bidonville Arenal à Barrancabermeja, à 300kms au nord de Bogota. En France, l’association diffuse le projet afin de le faire connaître et de rassembler des fonds. Une équipe de bénévoles travaille également sur place, ainsi que des salariés colombiens (issus de quartiers défavorisés), et des soutiens sont sollicités auprès des entreprises locales, comme Ecopetrol. En effet, de nombreux Colombiens sont désireux de venir en aide aux plus nécessiteux, mais ne se sentent pas à l’aise dans ces quartiers dont on redoute l’insécurité.
L’OBJECTIF EST D'AIDER LES POPULATIONS VULNERABLES DANS TOUTES LEURS DÉMARCHES, DE LES MOTIVER, DE LES ACCOMPAGNER, MAIS NON PAS DE LES ASSISTER.
Le projet Caminos de Esperanza se présente comme un moyen de créer des relations entre personnes d’origines totalement différentes : des bidonvilles et de la ville, de Colombie et de France.
Cette entreprise pourrait sembler utopique, mais Stéphanie vit déjà depuis bientôt 16 ans dans ce bidonville ; elle connaît donc non seulement les lieux, les familles et leurs attentes, mais aussi les coutumes et les problèmes du pays. Modestement, grâce aux nombreux soutiens qui se manifestent, notre projet se développe. Des liens d’entraide et de partage se tissent entre notre pays et ce quartier déshérité où des familles luttent au quotidien pour subsister et sortir de la misère.
A présent, il faut CONTINUER NOTRE ACTION, il y a tant à faire…! Toute aide, si modeste soit-elle, nous est précieuse et contribue à tracer ce « chemin d’espérance » sur lequel nous voulons avancer avec nos amis Colombiens.
Pour nous apporter votre soutien et pour un complément d'information, vous pouvez nous contacter.